Colette Thériault travaille en tant qu’enseignante au sein du village de la Station. Autrefois, la vie des habitants, principalement des journaliers ainsi que deux fermiers, est rythmée par le passage du train.
Saint-Jean-Port-Joli-Station est un endroit axé sur le transport. D’abord, la présence d’un chemin de fer géré par le Canadien National (CN), puis la construction de l’autoroute 20 qui oblige plusieurs familles à déménager dans des villages voisins. L’implantation d’un service d’autobus permet aussi d'amener les gens vers les frontières américaines.
Ce hameau est rayé de la carte avec l'arrivée de l'autoroute 20 à la fin des années 1960.