Charles-François Fournier, fils de François Fournier et de Catherine Miville-Deschênes, naît le 15 mai 1805. Il se marie à trois reprises, d’abord à Salomée Canac-Marquis, puis à Adélaïde Beaulieu, et enfin à Jane Brotherton, une Écossaise protestante avec qui il a six enfants. Comme son père, il choisi le métier d’arpenteur. C’est lui qui aurait divisé et arpenté les paroisses de Saint-Aubert, Sainte-Louise, Saint-Eugène, Saint-Cyrille, Saint-Marcel, Sainte-Perpétue, Saint-Pamphile et Saint-Adalbert. Il est également le premier maire de Saint-Jean-Port-Joli, fonction qu’il occupe de 1855 à 1870, de même que député du comté de L’Islet et président de l’Institut littéraire de Saint-Jean-Port-Joli.
Anonyme. (2009), Charles-François FOURNIER (1805 – en ou après 1863), Dans Dictionnaire des parlementaires québécois depuis 1792, Assemblée nationale du Québec. Répéré à http://www.assnat.qc.ca/fr/deputes/fournier-charles-francois-3229/biographie.html.
Dumais, Michel. Sépultures de Saint-Jean-Port-Joli, 1767-1997, 1997, p. 4 et 65.
Fournier, J. Arthur. Mémorial de Saint-Jean-Port-Joli, Musée de la mémoire vivante, Saint-Jean-Port-Joli, 2012 (1923), p. 109 à 275.
Saint-Pierre, Angéline. Hommage aux bâtisseurs, La Plume d’Oie, Cap-Saint-Ignace, 2003, p. 123.