À Saint-Jean-Port-Joli, pour le Symposium, je poursuivrai mon travail dans l’esprit de mes œuvres antérieures. Je me situe à la limite de la peinture et de la sculpture. Considérant les statues géantes de l’Île de Pâques et les marbres de Michel-Ange, je dois dire qu’elles ont en commun une âme de la sculpture qui traverse le temps et l’espace. Aujourd’hui, je retrouve cette âme dans la sculpture. J’entends par sculpture la forme qui traverse le temps avec sa présence concentrique, compacte et solide.